La plupart d’entre nous doivent dépenser des sommes parfois importantes pour nous procurer les logiciels dont nous pensons avoir besoin et chaque fois, la question se pose : est-ce bien nécessaire ?
Par exemple, nous avons tous besoin d’un bon logiciel de traitement de texte et d’un chiffrier, sans compter les nombreux utilitaires dont nous ne pouvons nous passer.
En réfléchissant à cette question, il devient vite évident que nous sommes confrontés à un choix presque infini de logiciels. Lesquels choisir ?
Au fil des ans, j’ai mis au point une méthode infaillible pour choisir le bon logiciel et surtout, pour dénicher celui qui coûte le moins cher. Voici comment.
Cette approche m’a permis d’économiser plusieurs milliers de dollars, tout en m’assurant de rester dans la légalité et d’éviter les logiciels piratés.
Est-ce que je me suis privé en utilisant ces logiciels ? Pas du tout, puisque la qualité des logiciels que j’utilise est aussi bonne, sinon meilleure que celle des logiciels commerciaux.
Logiciels libres
Les logiciels libres sont, comme leur nom l’indique, libres de droits. Ils peuvent être utilisés et obtenus gratuitement sur Internet.
Par exemple, ceux qui ont besoin d’un logiciel comme MS Office – Word, Excel, PowerPoint et Access – peuvent utiliser LibreOffice qui offre les mêmes fonctionnalités et qui peut lire et sauvegarder les fichiers produits par MS Office.
Vous avez besoin de Photoshop d’Adobe pour traiter vos images ? Utilisez plutôt The GIMP. Vous économiserez ainsi plusieurs centaines de dollars, sans pour autant vous priver des fonctions de traitement des images les plus avancées.
Gratuiciels et partagiciels
Les gratuiciels comme Acrobat Reader sont des incontournables alors que d’autres, comme les fureteurs, Firefox ou Opera ou encore Eudora, et Thunderbird les logiciels de courrier électronique offrent un meilleur rendement et une meilleure sécurité que les logiciels comme Internet Explorer ou Outlook.
Ceux qui ont suivi mes chroniques savent que je ne recommande presque jamais l’usage de partagiciels. La raison en est simple : les versions libres de la plupart de ceux-ci sont disponibles sur Internet.
Par exemple, un logiciel libre comme 7-Zip remplace les très populaires partagiciels WinZip et Winrar et peut prendre en charge un plus grand nombre de formats de compression en plus d’être plus performant que ces derniers.
C’est votre choix… Personnellement, je n’utilise pas de logiciels piratés et je préfère ne pas dépenser inutilement. Ce sont sans doute mes origines (en partie) écossaises qui se manifestent.